Le projet
Le projet éolien de Bosc Geffroy se compose de quatre éoliennes, situées sur la commune de Callengeville en Seine-Maritime.
Le projet éolien de Bosc Geffroy se compose de quatre éoliennes, situées sur la commune de Callengeville en Seine-Maritime.
Éoliennes
de puissance installée
MWh produits chaque année par le parc
Personnes alimentées en énergie verte
Mètres de hauteur maximale en bout de pale
Tonnes de CO2 économisées par an
La programmation pluriannuelle de l’énergie fixe pour objectif d’atteindre 32 % d’énergies renouvelables d’ici 2030 dans la consommation d’énergie nationale et augmenter de 50 % la capacité installée. La Normandie est une région où la filière éolienne se développe beaucoup grâce au fort potentiel éolien et à l’intérêt que portent les différents acteurs du territoire à prendre part dans la transition énergétique.
Le projet éolien de Bosc Geffroy a été développé en concertation avec les élus et les habitants pour recueillir leurs avis et idées et ainsi proposer un projet cohérent et respectueux du territoire.
Permanences d’information
Sorties scolaires avec les enfants de l’école de Callengeville
Dépôt du dossier de demande d’autorisation environnementale
À 500 mètres de distance d’une habitation et dans les conditions les plus défavorables, le bruit d’une éolienne est inférieur à celui d’une conversation à voix basse.
Un parc éolien doit répondre à des normes acoustiques strictes :
* L’émergence est la différence de bruit entre les éoliennes en marche et à l’arrêt.
Les campagnes de mesures réalisées récemment par l’Anses* montrent que les infrasons émis par les éoliennes sont à des niveaux trop faibles pour constituer une gêne. En comparaison, les infrasons émis par notre organisme (battements cardiaques respiration) sont plus intenses que ceux émis par les éoliennes.
*Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail
L’obligation de démantèlement est prévue par le Code de l’environnement. Elle se traduit notamment par une garantie financière provisionnée en amont de la construction du parc et pendant toute la durée de son exploitation. Aucun montant ne reste à la charge du propriétaire, de l’exploitant ou de la commune.
Le démantèlement comprend le recyclage et la valorisation des matériaux composant l’éolienne, ainsi que l’excavation complète de sa fondation et son remplacement par des terres comparables à proximité de l’installation.
Une éolienne démarre à partir d’une vitesse de vent de 10 km/h (environ 3 m/s) et s’arrête lorsqu’elle atteint 90 km/h (environ 25 m/s). Ces arrêts sont peu fréquents et automatisés : au total, cela correspond à moins de 10 jours par an. Pendant sa période de fonctionnement, une éolienne tourne à différentes vitesses en fonction de la force plus ou moins importante du vent.
En un an, une éolienne aura tourné 80 et 90% du temps mais elle aura produit autant d’électricité que si elle avait tourné 20 à 25% du temps à capacité maximale. C’est ce qu’on appelle le facteur de charge ou le taux de charge.
Avant d’implanter un parc éolien, des études sont réalisées pour analyser le comportement des oiseaux et des chauves-souris. Ce comportement est pris en compte pour définir la zone d’implantation des éoliennes. Il existe notamment des systèmes de bridage des éoliennes en période de forte activité des chauves-souris. Tous les parcs éoliens font l’objet d’un suivi régulier de la mortalité des oiseaux et des chauves-souris. A titre de comparaison, les chats ou les voitures font bien plus de dégâts !
Depuis le début du développement de l’éolien dans le monde, de nombreuses études ont été menées sur ce sujet. L’ADEME a réalisé en 2021 une étude très complète sur le sujet, en interviewant toutes les parties prenantes (agents immobiliers, commissaires enquêteurs, maires, développeurs, SAFER, riverains, etc.). L’étude conclut à un impact nul pour les habitations à plus de 5km d’un parc éolien, et de -1,5% de la valeur de la maison pour les habitations situées entre 0 et 5km d’un mât. De plus, il apparait que l’impact de l’éolien sur l’immobilier est comparable à celui d’autres infrastructures industrielles (antenne téléphonique, centrale thermique, décharge / incinérateur, ligne haute tension).
EDPR veille à développer un projet cohérent et respectueux des enjeux territoriaux. Pour cela, différents bureaux indépendants réalisent des études qui constituent un diagnostic territorial. Ce dernier est primordial pour bien connaître l’ensemble des enjeux et caractériser tous les potentiels impacts, positifs ou négatifs.
Lors de l’étude de la faune et de la flore, Les écologues recueillent et analysent les données sur le territoire de la zone d’étude. Ils prospectent un an pour étudier la faune et la flore pendant un cycle biologique complet (4 saisons). La faune volante (oiseaux et chauve-souris) fait l’objet d’études particulièrement poussées, ces espèces étant plus sensibles au développement éolien.
EDPR exploite 5 parcs éoliens normands, pour un total de 34 éoliennes et 76 MW installés. En 2020, nous avons produits plus de 134 GWh et alimenté plus de 122 000 normands en électricité verte. Chaque année, ce sont plus de 6 500 tonnes de CO2 évitées grâce à l’électricité produite par les parcs EDPR en Normandie. EDPR développe actuellement 3 parcs éoliens terrestres.
C’est dans cette logique que le projet de parc éolien des Sceaux s’ancre. Il viendra ajouter 29,4 MW et injectera plus de 59 000 MWh sur le réseau français tous les ans, ce qui permettra à la Seine-Maritime de tendre vers l’indépendance énergétique en électricité verte.
EDPR codéveloppe également le parc éolien offshore de Dieppe – Le Tréport avec Engie, dans le cadre de la joint-venture Ocean Wind.
EDPR développe, finance, construit et exploite des parcs éoliens et photovoltaïques en France depuis plus de 15 ans. Avec 601 MW en exploitation, dont 213 MW de puissance installée en propre et 388 MW gérés pour le compte de tiers, EDPR compte parmi les acteurs français de premier plan en alimentant plus d’un million de personnes en électricité propre et en évitant chaque année l’émission de 58 000 tonnes de CO2. EDPR développe également 1 GW de projets offshore, dans le cadre d’un joint-venture avec Engie (Ocean Winds) et 24 MW d’éolien flottant à Leucate en Méditerranée.
EDP Renewables est le quatrième producteur mondial éolien et solaire. Avec plus de 14 GW en exploitation et plus de 2700 employés, EDPR a connu un développement exceptionnel ces dernières années. Actuellement présent sur 29 marchés internationaux à travers l’Europe, l’Amérique Latine, l’Amérique du nord et l’Asie, EDPR est un acteur majeur de la transition énergétique certifié ISO 14001 (environnement) et ISO 45001 (santé et sécurité).
EDPR déploie de nombreuses solutions innovantes pour optimiser la production de ses parcs. Le groupe a notamment développé une entité « Hydrogène » dédié à la production et au stockage de cette molécule et a pris une participation significative dans Lhyfe, producteur français d’hydrogène renouvelable.
EDPR s’engage en parallèle à promouvoir les égalités sociales et la diversité. Cela se traduit par l’inclusion de l’entreprise dans l’indice Bloomberg Gender Equality et sa certification en tant que Top Employer 2020 en Europe (Espagne, Italie, France, Roumanie, Portugal et Royaume-Uni) qui reconnaissent sa politique centrée sur les employés.
EDP, principal actionnaire d’EDPR, est un acteur mondial du secteur de l’énergie au service de l’économie durable et innovante.
EDPR FRANCE Holding
25 quai Panhard et Levassor
75013 Paris
01 55 67 81 49